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« Badass » : le ou la dure à cuire – Mot fort, stylé et rebelle : peut-on vraiment l’adapter en français ? | « Crush » : amour, attirance ou coup de foudre ? – Petit mot, gros impact émotionnel. | « Drop » en français ? – Entre chute, sortie produit et effet mode, tout dépend du contexte. |
« Hustle » : bosser dur ou briller ? – Le mythe de la réussite. | « Goat » : entre légende et animal ? – Quand sport et admiration fusionnent. | « Shill » : vendeur ou manipulateur ? – Le mot préféré des crypto-communautés. |
« Side Hustle » : revenu secondaire, ambition principale – Devenir son propre boss. | « Casual » : que veut-il vraiment dire ? – Un mot simple qui cache bien son jeu. | « Hackathon » : innovation express – L’événement tech où tout se joue en 48h. |
« Freelance » : indépendant mais pas isolé – Portrait d’un statut flou. | « Stan » : fan ou obsession ? – Un anglicisme né de la musique. | « Fake News » : mensonges modernes – Entre désinformation et défi de traduction. |
« Empowerment » : mot fort ou fourre-tout ? – L’essor d’un terme engagé. | « Simp » : amour ou soumission ? – Un mot controversé. | « Flex » : frimer ou s’affirmer ? – L’ego à l’ère numérique. |
« Growth hacking » : ruser pour croître – Le mot qui fait vendre. | « Rizz » : charisme 2.0 – De TikTok à la drague IRL. | « Metaverse » : traduire un monde virtuel – Réel, marketing ou utopie ? |
« Benchmark » : référence ou pression ? – Comparer pour mieux viser. | « Soft Boy » : romantique ou toxique ? – Exploration d’un stéréotype bien contemporain. | « NFT » : objet numérique ou mirage linguistique ? – Décryptage du jargon Web3. |
« Briefing » : briefer sans angliciser – Mission possible ? | « Skibidi » : traduction impossible ? – Quand un mème devient un mot. | « Clickbait » : piège à clics assumé – Quand le titre devient arme. |
« Pitch » : convaincre en quelques mots – L’art du condensé. | « Karen » : prénom devenu symbole – Traduire un phénomène viral. | « Doomscrolling » : anxiété en boucle – Un mot pour une pratique addictive. |
« Onboarding » : accueillir autrement – De RH à expérience employé. | « Ghosting » : silence radio – Quand disparaître devient une pratique. | « Crossover » : fusion créative – Comics, musique, cinéma. |
« Trigger » : activer ou blesser ? – Psychologie et prudence. | « Breadcrumbing » : une tactique amoureuse douteuse – Le lexique de la manipulation affective. | « Easter Egg » : clin d’œil codé – Les secrets cachés du digital. |
« Networking » : réseauter malin – Clé du succès ou du piston ? | « FOMO » : peur de manquer – Mieux vaut prévenir que subir. | « Cliffhanger » : suspense à traduire – Quand la fin n’en est pas une. |
« Shaming » : dénoncer ou humilier ? – L’éthique des mots. | « Bromance » : amitié virile ? – Entre complicité et clichés. | « Reboot » : tout recommencer ? – Narration, tech, ou les deux. |
« Ghost Kitchen » : cuisine sans salle – Traduire un modèle en pleine expansion. | « Cringe » : malaise ou moquerie ? – Le malaise devenu viral. | « Fandom » : communauté de passion – Traduire l’attachement. |
| « Hype » : engouement ou overdose ? – Quand tout le monde en parle. | « Deepfake » : illusion ou menace ? – Quand le faux devient parfait. |
| « Mindfulness » : pleine conscience ou tendance bien-être ? – Traduction délicate d’une pratique profonde. | « Plot Twist » : renversement scénaristique – La surprise maîtrisée. |
| « Fluffy » : moelleux, doux… mais pas si simple à traduire. | « Binge-watching » : maratonner sans fin – L’art de consommer les séries. |
| « Chill » : détendu, posé… ou l’art de ralentir avec style. | « Spoiler » : divulgâcher avec style – Tuer le suspense, ou pas. |
| « Glow up » : briller, changer… ou tout ça à la fois ? | « Sneaky » : discret, rusé… ou juste un peu trop malin pour être honnête ? |
| « Glow down » : le revers du glow up, version désenchantée mais toujours stylée. | « Finsta » : un faux compte… ou un vrai refuge numérique ? |
| « Sassy » : attitude piquante, humour chic et répartie qui claque ! | |
| « Kink » : fantasme, préférence… ou juste liberté assumée ? | |
| « Friends with benefits » : entre complicité et plaisir sans engagement, un anglicisme devenu incontournable dans les relations modernes. | |
| « Aftercare » : douceur post-acte, soin émotionnel… ou mot intraduisible devenu essentiel dans le langage du bien-être moderne. | |
| « Upcycling » : mot vert, mot hype, mais faut-il vraiment le traduire ? | |
| « DIY » : le fait maison version 2.0 ? Un mot qui dit plus que « bricolage ». | |
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